Le 7 novembre 2007 : (12:59 Unità Naziunale, www.unita-naziunale.org - Corse - Lutte de Masse) Suite à la publication d'un article dans le supplément du journal Le Monde, les Cahiers de la compétitivité - enjeux de la société. (octobre 2007)

Voici la lettre des prisonniers politiques : "Personne n'a oublié sans aucun doute, la "croquiglolesque" affaire des paillotes corses. Cette affaire de planches brûlées pourrait encore prêter à sourire si elle n'avait pas été que la partie visible, d'une sinistre affaire d'état. Que ce même état, comme il avait fait pour l'affaire du Rainbow Warrior, ait eu comme priorité de protéger ses zélés serviteurs, semble en soi honorable.

 Qu'il ait pût instrumentaliser la justice de ce pays pour étouffer et édulcorer cette affaire, nous y sommes habitués. Mais que ce Mr Pardini se pare du titre pompeux de "chef de Département Intelligence Economique de L'INHES (?) Pour parler de sécurité et de protection du citoyen, alors que, sous les ordres de son illustre beau frère et préfet Bonnet il s'apprêtait avec l'aide des non moins célèbres gendarmes du GPS, à, provoquer en Corse des évènements sanglants, est pour nous, militants et prisonniers politiques corses aussi indécents qu'inacceptable."

Les prisonniers politiques de la centrale de Lannemezan

Source photo : Unità Naziunale, Archives du site.
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