Le
31 octobre 2008 :
(13:00
Unità Naziunale,
www.unita-naziunale.org - Corse -
histoire de la lutte) Le samedi 5
octobre 1996, à 23 h 41, un engin explosif contenant 1 kilo de
dynamite avait secoué la capitale de l'Aquitaine, endommageant
sérieusement plusieurs salons de l'hôtel de ville de Bordeaux. Le
lendemain, cet attentat avait été revendiqué par le FLNC-Canal
historique. Une information judiciaire contre X avait alors été
ouverte par le parquet de Paris et confiée au juge antiterroriste
Jean-Louis Bruguière.
Hier, à Paris, le procès de
Jean-Jacques Cantara, un Corse poursuivi pour association de
malfaiteurs à visée terroriste dans un dossier en lien avec
l'attentat à l'explosif commis contre la mairie de Bordeaux en 1996,
devait s'ouvrir. Il devait notamment apporter des réponses sur cet
événement, dont les auteurs n'ont jamais été identifiés. L'absence
du prévenu, pour raisons médicales, a conduit la 10e chambre du
tribunal correctionnel de Paris à renvoyer ce procès au 19 mars
2009.
À l'époque, le gouvernement avait
affirmé sa détermination à lutter contre les terroristes corses,
tandis que le maire de Bordeaux, Alain Juppé, également Premier
ministre, s'était constitué partie civile.
Proche de François Santoni,
affilié à A Cuncolta Naziunalista, la vitrine légale du FLNC-Canal
historique, Jean-Jacques Cantara n'est pas poursuivi pour l'attentat
en tant que tel mais pour des faits annexes.
Rappel le l'année 1996
http://storiacorsa.unita-naziunale.org/h1996.htm
Dossier
Lutte Armée :
2006-2008
Source info :
Unità Naziunale
© UNITA NAZIUNALE
Vos
réactions sur cet article ici :http://forucorsu.unita-naziunale.org/portal.php |