Le
4 septembre 2008 :
(13:00
Unità Naziunale,
www.unita-naziunale.org - Corse - Lutte de Masse)
Laetitia Pietri – Alta Frequenza)
- Vive montée au créneau d’A Chjama Naziunale, dans un communiqué,
qui s’élève contre les poursuites annoncées contre les militants,
ayant participé à l’occupation du lotissement Punta D’Oru. « Plutôt
que de se livrer à une surenchère permanente, l’Etat devrait enfin
admettre que les Corses, dans leur très grande majorité ne veulent
pas d’un PADDUC vendant leur pays au plus offrant », écrit A Chjama.
Le mouvement nationaliste pour qui : « il est plus que temps de
revenir à la raison, d’arrêter les pantalonnades policières et
judiciaires et de reconnaître que le problème est fondamentalement
politique : c’est celui de l’existence du peuple corse à travers ses
droits nationaux »
(AFP) de le faire" après
l'intrusion samedi de nationalistes dans le jardin de sa villa à
Porto-Vecchio (Corse-du-Sud), a précisé jeudi après-midi la
direction générale de la police nationale (DGPN).
La DGPN a apporté cette précision après l'intervention jeudi matin
sur RTL du du directeur général de cette direction, Frédéric
Péchenard, selon lequel Christian Clavier avait déjà déposé plainte.
Cette "plainte et la maison de Christian Clavier" sont "en zone
gendarmerie" et "c'est la gendarmerie nationale qui s'occupe et de
la protection de sa maison et de la plainte", avait-il ajouté.
"Je sais, bien que je n'ai pas un accès direct à l'enquête",
avait-il poursuivi, que les gendarmes "ont entendu, hier (mercredi),
Christian Clavier et puis les témoins".
En revanche, contrairement à ce que le script de l'entretien du
directeur général de la police nationale pouvait laisser supposer,
celui-ci n'a pas assuré que les personnes qui se sont introduites
dans le jardin de la propriété de l'acteur seraient poursuivies, ni
qu'il y avait parmi elles des responsables politiques.
A la question concernant ces éventuelles poursuites, M. Péchenard
avait répondu: "alors, je ne sais pas s'ils seront poursuivis. Ils
seront entendus. Les policiers, les gendarmes font des procédures et
c'est à la justice de décider si, à l'issue de ces procédures, il y
a lieu ou non à engager des poursuites".
Dossier
Clavier Rossi :
La république Bananière
Source photo :
Unità Naziunale, Archives du site.
Source info :
Alta Frequenza, Unità Naziunale
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