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bonnet qui rit (devant les grilles)

Bonnet qui pleure (derrière les barreaux)

crédits photo AFP

 

Unione Naziunale

 

Communiqué avec prière d’insérer - Merci

 

Une fois de plus, le triste sire Bonnet, en mal de reconnaissance et de publicité tente d’attirer l’attention médiatique sur lui en écrivant un livre sur une affaire dont il sait parfaitement qu’elle intéressera les médias. Encore une fois, le préfet-incendiaire annonce à grand renfort de publicité des pseudo-révélations sur l’affaire dite Erignac.

 

Cette tentative de destabilisation de la défense n’arrive pas à n’importe quel moment. Nous osons croire et espérer, à quatre mois du procès en appel de Jean Castela et Vincent Andriuzzi, que cette tentative de la dernière chance n’est pas destinée à alourdir un dossier désespérément vide, car Jean et Vincent sont innocents. D’ailleurs, en décembre 2002, la chambre de l’instruction les avait tous les deux relâchés dans le principal dossier, l’assassinat du préfet.

 

Mais le meilleur « avocat » de Jean est encore l’ancien chef de la DNAT, Roger Marion, qui a lui-même reconnu lors du premier procès que le seul élément matériel qu’il y avait dans ce procès à l’encontre de Jean Castela était… l’instinct policier, comme il a été dit que la culpabilité de Vincent Andriuzzi était avérée car il consultait les informations tôt le matin sur Internet !

Bernard Bonnet apparaît comme un pantin, de surcroît cassé, et il est troublant de constater que ce livre est publié alors que le préfet-incendiaire est en attente d’une réponse à sa demande de grâce présidentielle…

 

Il est impossible de prétendre qu’un observateur indépendant puisse aujourd’hui prendre au sérieux un homme qui a menti dans la presse et devant les tribunaux pendant plus de 6 ans, avant de reconnaître enfin qu’il était bien le responsable de cette lamentable affaire dite des paillotes. Et contrairement à ce que prétend le préfet-incendiaire, contrairement à ce que la justice française lui a reproché, cette affaire ne se limite pas à la destruction d’un bien, légal ou pas, mais va bien plus loin que cela. Nous pouvons d’ailleurs nous étonner du manque de réaction des médias qui interviewent à tours de bras le triste sire Bonnet, il n’en est pas un seul qui lui ait demandé s’il trouvait légal de laisser des tracs « Féraud balance des flics » qui étaient de véritables appels au meurtre, ou encore s’il était légal, dans une République soi-disant démocratique, de prévoir des mitraillages de maisons de nationalistes. Ces actes prévus par les représentants des forces de l’ordre ont un nom, ce sont des actions barbouzes et les gens qui les pensent et qui les commettent sont eux-mêmes des barbouzes.

 

Bernard Bonnet est un irresponsable, son cas relève de la psychiatrie, et ne mériterait même pas que l’on s’y intéresse si les médias français ne lui faisaient pas un tel écho. Comment accorder un iota de crédibilité à une personne qui a changé de version presque autant de fois que d’avocats ? Que Bonnet reste dans son coin, avec ses briquets, la Corse n’a pas besoin de lui. Quant à son incrimination de Jean Castela, le triste sire Bonnet ne lui arrive pas à la cheville, Jean n’est pas un « assassin présumé », c’est un innocent, mis en cause sans aucune preuve, dans une affaire où il n’a rien à voir.