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Le 17 01 2005

 

Prière d’insérer SVP

 

 

 

Dans une lettre ouverte au Préfet, l’association pour le libre accès aux plages et la défense du littoral est revenue sur la question d’une chantier en cours que nous avons nous aussi abordé il y a peu.

 

Si de nombreuses fois nous avons suivis avec intérêt les travaux de l’association, quelquefois les partageant et les soutenant, la lettre ouverte nous interpelle toutefois dés lors qu’elle se réfère dans une phrase plus ou moins sibylline à cette « violence » tant décriée et vilipendée par les représentants de l’état français en Corse.

Et nous citons : « Comment peut – on croire à l’application de l’état de droit ? Et se poser la question si l’on n’attend pas que le bulldozer de la violence ne vienne une fois encore précéder celui de l’autorité légale ».

 

Pour notre part, en soulevant la question – sur le fond – et non sur son seul aspect écologiste, de la construction, nous interpellions non l’administration française et ses services concernés, mais l’opinion publique pour qu’elle saisisse à travers cet exemple, le grave problème de la colonisation de peuplement qui ne saurait se réduire à la seule enclave  de Punta d’Oru…

 Nous démontrions également la réalité de cette violence insidieuse, celle dont on ne parle pas – et pour cause ! – qui se traduit par une articulation complice entre la préfecture et certaines municipalités dés lors qu’il s’agit de déposséder de sa propre terre un peuple toujours dénié dans ses droits. Cette articulation, véritable pieuvre s’étend de ses tentacules sur bien des communes et pas seulement sur des domaines privés et vendus…

 

Notre communication ne peut s’amalgamer avec un quelconque appel à cette « violence » dont l ‘association brandit ici de façon ciblée le spectre – et l’image – pour mieux étayer son texte.

 

La violence en Corse, la violence originelle, c’est bel et bien la présence coloniale.

Pour notre part, nous ne confondons pas, au nom du principe de solidarité politique avec le F.L.N.C. Union des combattants, une résistance politique avec des feuilletons de Zorro… le temps d’une colline dévastée… .

 

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