La Lutte de Libération Nationale, c'est l'occupation constante de tous les terrains qui concernent la Lutte Institutionnelle, la lutte de masse et la lutte armée.
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Le site Unità Naziunale à la une de la presse...
Ils ont vraiment rien à faire...

Pour la corse, on fait quoi ?

j'veux rien savoir
 

Depuis le 10 Mars la corse est dans l'attente d'une réponse forte aux problèmes du Peuple Corse. Au nom du site Unità Naziunale (donc en mon nom), j'ai publié deux textes dont un avec les photos de six élus de l'Assemblée Territoriale. Ces deux textes ont été le début d'une polémique : Le site appartient-il a une structure politique ? La réponse est Non... Je suis un particulier comme beaucoup d'entre vous, j'ai compris l'intérêt du net, sa portée, et j'ai décidé seul d'utiliser ce média . Internet c'est aussi la libre expression du peuple et des citoyens, n'en déplaise à tous les censeurs, à tous ceux qui aiment l'establishment et le politiquement correct. 

Le premier site, je l'ai créé  en Mai 1998, juste après l'assassinat de Claude Erignac et les vagues d'interpellations "tout'azimut" qui ont suivies. Ce site que j'ai appelé "Libertà" a été crée pour  répertorier toutes les personnes interpellées, mis en examen et  déportées . . La répression ne visant qu'eux en priorité. J'ai donc pris une initiative sans en référer à quiconque dans le milieu Nationaliste, j'ai ainsi crée ce site pour dénoncer les agissements d'un État qui favorisait la répression aveugle, qui niait les droits des prisonniers, des avocats de la famille et qui mettaient en garde à vue toute la population corse pour délit d'opinion. Moi même j'ai été interpellé et j'ai du justifié de mes actes devant la DNAT. J'ai lancée une pétition sur le sort des prisonniers politiques corses et de leurs familles. J'ai  affiché sur le site tous les prisonniers politiques à une époque où les associations humanitaires ne listaient que les leurs. J'ai donc continué  seul à gérer ce site. Quelques mois plus tard, le Comité Anti-Répression voyait le jour et défendait tous les prisonniers politiques. Je ne participe pas à ce comité. 

Ensuite j'ai crée le site Unità Naziunale en Août 99, soit trois mois avant cette structure politique nommée Unità. Sans concertation avec les nationalistes, j'ai payé le nom de domaine Unità Naziunale de ma poche, j'ai loué un espace chez un hébergeur et j'ai lancé le site. Le but du site n'a pas changé, il est toujours sur la page d'accueil. Mais il est bon de le rappeler : le but du site est de réaliser un "portail électronique" avec tous les sites regroupant la même idée : La défense du peuple corse. Au delà des seuls sites nationalistes, j'ai pris contact avec différent web master en leur précisant que ce n'était pas un site nationaliste mais un site de liens vers d'autres sites défendant les intérêts du peuple corse dans son ensemble. J'ai ouvert une page aux "réflexions" reçues par Internet, une page "communiqués" regroupant tous les communiqués de presse défendant ou se battant pour la  Corse (Chômeurs, anti racisme, précarité, grève, culture...) et bien d'autres choses encore. Le lendemain des votes de l'assemblée Territoriales, j'ai reçu de nombreux articles de protestations tous aussi virulents les uns que les autres.  J'ai reçu un texte assez dur , mais résumant un certain nombre de courrier reçu. J'ai donc publié le samedi soir une première fois  ce message sans censure et avec les fautes d'orthographes d'origines. Le lundi après relecture (soit 4 jour avant les foudres des communistes et leur déclaration de guerre), j'ai décider (seul) de  supprimer des phrases  qui auraient pu apparaître  choquantes et en enlevant les noms.

Pour les photos, il s'agissait uniquement de montrer les visages de personnes qui sont élus en corse, un visage que tout le monde ne connaît pas forcement.  Les qualificatifs ont été mis suite à leur parutions pour certains dans la presse écrite, pour d'autres le jour même à l'assemblée et pour les autres suite aux émails reçus. Les noms ont été pris sur le Corse Matin, d'ailleurs les journaux ne se sont pas privés  de publier les noms de ceux qui  , je pense,  continuent à tirer vers le bas une corse toujours aussi malade de sa "pulitichella" ou l'intérêt personnel l'emporte toujours sur l'intérêt collectif.

Je n'avais pas pour ambition de faire la Une des journaux locaux et nationaux, ni de passer aux infos, ni de me faire traiter de " Pol Pot", encore moins d'appeler à la haine. Le mal est fait, les réprimandes sont légions, c'est la règle du jeux, je l'accepte. Le site qui compte aujourd'hui plus de 14600 visites, et environ 6000 visiteurs dont une bonne partie internationale, doit 2000 visites et son succès à cet article, personnellement je m'en serais passer. Le site continuera de travailler comme il travaillait avant cet article, sans publication d'article diffamatoire, sans coup de pub mal placé et sans autre procès d'intention envers la classe politique.

En conclusion, Internet est une formidable  outil  de propagande et je ne serais pas étonné de voir surgir de nouveaux sites de libre expression même s'ils dérangent la classe traditionnelle et les journalistes locaux. En ce qui concerne les leçons de morales des uns et des autres, je m'en passe, si je dois être condamné , ce sera par la justice  française . Le serais-je par le Peuple Corse ?   Les noms des nationalistes jetés en pâture dans la presse nationale et locale à des époques difficiles n'ont jamais soulevé l'indignation des Élus. les insultes de certains élus (notamment ceux la même qui aujourd'hui font les vierges effarouchées) envers les nationalistes qui "avaient du sang sur les mains", les accusations de  Bonnet en pleine assemblée, les invectives de certains sur les cagoulards et bien d'autres qualificatifs qui ont été diffusés dans la presse et "chantés" sur les ondes, n'ont jamais soulevés l'indignation de tous ces nouveaux démocrates, respectueux de la démocratie quand cela les arranges. utilisant les armes anti-démocratiques lors des élections avec le chantage à l'emploi, les billets à clefs, les votes par charter, les fausses cartes d'électeurs et les fraudes électorales, le vote des morts... La période  actuelle est une période de transition, je crois à la paix, je crois à une corse sans attentats, sans crimes et sans violences, je soutiendrai les personnes qui vont dans ce sens. La montée au créneau  de quelques simples d'esprit n'a rien  d'anodine. ,  Croyant que le site appartenait à Unità, les élus ont voulu  marquer  un  point politique. Malheureusement pour eux,  ils se sont une nouvelle fois tromper. ce  site m'appartient... personne  ,  je le répète ,  personne ne me dicte mes actes.    Je ne regrette pas d'avoir permis la libre expression d'un internaute, même si elle était  virulente . J'assume  ma responsabilité dans cette affaire, mais je me défendrai. Les paroles s'envolent les écrits restent. Je possède plus de Quinze ans d'archives, alors les menaces et les injures des uns et des autres, je peux  les lister... Juste pour le plaisir... Histoire de rappeler à certains qui se sont acheter une virginité, leur  passé  peu glorieux... Dommage que  certains de nos compatriotes, tout comme les Français aient la mémoire courte.  Nous pas !  

 

Anthony Simonpoli. Webmaster et seul responsable du site Libertà et Unità Naziunale. (En deux ans de présence sur le net et de propagande électronique, jamais aucune pub pour le site n'a été faite par les structures officielles du nationalisme).