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Generazione76
Empêcher le clic droit
Empêcher la sêlection du texte
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Le site Unità Naziunale à la une
de la presse...
Ils ont
vraiment rien à faire... |
Pour la corse, on fait quoi ? |
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j'veux rien savoir |
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Depuis le 10 Mars la corse est dans
l'attente d'une réponse forte aux problèmes du Peuple Corse.
Au nom du site Unità Naziunale (donc en mon nom), j'ai
publié deux textes dont un avec les photos de six élus de
l'Assemblée Territoriale. Ces deux textes ont été le début
d'une polémique : Le site appartient-il a une structure
politique ? La réponse est Non... Je suis un particulier
comme beaucoup d'entre vous, j'ai compris l'intérêt du net,
sa portée, et j'ai décidé seul d'utiliser ce média .
Internet c'est aussi la libre expression du peuple et des
citoyens, n'en déplaise à tous les censeurs, à tous ceux qui
aiment l'establishment et le politiquement correct.
Le premier site, je l'ai créé en Mai 1998,
juste après l'assassinat de Claude Erignac et les vagues
d'interpellations "tout'azimut" qui ont suivies. Ce site que
j'ai appelé "Libertà" a été crée pour répertorier toutes
les personnes interpellées, mis en examen et déportées . .
La répression ne visant qu'eux en priorité. J'ai donc pris
une initiative sans en référer à quiconque dans le milieu
Nationaliste, j'ai ainsi crée ce site pour dénoncer les
agissements d'un État qui favorisait la répression aveugle,
qui niait les droits des prisonniers, des avocats de la
famille et qui mettaient en garde à vue toute la population
corse pour délit d'opinion. Moi même j'ai été interpellé et
j'ai du justifié de mes actes devant la DNAT. J'ai lancée
une pétition sur le sort des prisonniers politiques corses
et de leurs familles. J'ai affiché sur le site tous les
prisonniers politiques à une époque où les associations
humanitaires ne listaient que les leurs. J'ai donc continué
seul à gérer ce site. Quelques mois plus tard, le Comité
Anti-Répression voyait le jour et défendait tous les
prisonniers politiques. Je ne participe pas à ce comité.
Ensuite j'ai crée le site Unità Naziunale en
Août 99, soit trois mois avant cette structure politique
nommée Unità. Sans concertation avec les nationalistes, j'ai
payé le nom de domaine Unità Naziunale de ma poche, j'ai
loué un espace chez un hébergeur et j'ai lancé le site. Le
but du site n'a pas changé, il est toujours sur la page
d'accueil. Mais il est bon de le rappeler : le but du site
est de réaliser un "portail électronique" avec tous les
sites regroupant la même idée : La défense du peuple corse.
Au delà des seuls sites nationalistes, j'ai pris contact
avec différent web master en leur précisant que ce n'était
pas un site nationaliste mais un site de liens vers d'autres
sites défendant les intérêts du peuple corse dans son
ensemble. J'ai ouvert une page aux "réflexions" reçues par
Internet, une page "communiqués" regroupant tous les
communiqués de presse défendant ou se battant pour la Corse
(Chômeurs, anti racisme, précarité, grève, culture...) et
bien d'autres choses encore. Le lendemain des votes de
l'assemblée Territoriales, j'ai reçu de nombreux articles de
protestations tous aussi virulents les uns que les autres.
J'ai reçu un texte assez dur , mais résumant un certain
nombre de courrier reçu. J'ai donc publié le samedi soir une
première fois ce message sans censure et avec les fautes
d'orthographes d'origines. Le lundi après relecture (soit 4
jour avant les foudres des communistes et leur déclaration
de guerre), j'ai décider (seul) de supprimer des phrases
qui auraient pu apparaître choquantes et en enlevant les
noms.
Pour les photos, il s'agissait uniquement de
montrer les visages de personnes qui sont élus en corse, un
visage que tout le monde ne connaît pas forcement. Les
qualificatifs ont été mis suite à leur parutions pour
certains dans la presse écrite, pour d'autres le jour même à
l'assemblée et pour les autres suite aux émails reçus. Les
noms ont été pris sur le Corse Matin, d'ailleurs les
journaux ne se sont pas privés de publier les noms de ceux
qui , je pense, continuent à tirer vers le bas une corse
toujours aussi malade de sa "pulitichella" ou l'intérêt
personnel l'emporte toujours sur l'intérêt collectif.
Je n'avais pas pour ambition de faire la Une
des journaux locaux et nationaux, ni de passer aux infos, ni
de me faire traiter de " Pol Pot", encore moins d'appeler à
la haine. Le mal est fait, les réprimandes sont légions,
c'est la règle du jeux, je l'accepte. Le site qui compte
aujourd'hui plus de 14600 visites, et environ 6000 visiteurs
dont une bonne partie internationale, doit 2000 visites et
son succès à cet article, personnellement je m'en serais
passer. Le site continuera de travailler comme il
travaillait avant cet article, sans publication d'article
diffamatoire, sans coup de pub mal placé et sans autre
procès d'intention envers la classe politique.
En conclusion, Internet est une formidable
outil de propagande et je ne serais pas étonné de voir
surgir de nouveaux sites de libre expression même s'ils
dérangent la classe traditionnelle et les journalistes
locaux. En ce qui concerne les leçons de morales des uns et
des autres, je m'en passe, si je dois être condamné , ce
sera par la justice française . Le serais-je par le Peuple
Corse ? Les noms des nationalistes jetés en pâture dans la
presse nationale et locale à des époques difficiles n'ont
jamais soulevé l'indignation des Élus. les insultes de
certains élus (notamment ceux la même qui aujourd'hui font
les vierges effarouchées) envers les nationalistes qui
"avaient du sang sur les mains", les accusations de Bonnet
en pleine assemblée, les invectives de certains sur les
cagoulards et bien d'autres qualificatifs qui ont été
diffusés dans la presse et "chantés" sur les ondes, n'ont
jamais soulevés l'indignation de tous ces nouveaux
démocrates, respectueux de la démocratie quand cela les
arranges. utilisant les armes anti-démocratiques lors des
élections avec le chantage à l'emploi, les billets à clefs,
les votes par charter, les fausses cartes d'électeurs et les
fraudes électorales, le vote des morts... La période
actuelle est une période de transition, je crois à la paix,
je crois à une corse sans attentats, sans crimes et sans
violences, je soutiendrai les personnes qui vont dans ce
sens. La montée au créneau de quelques simples d'esprit n'a
rien d'anodine. , Croyant que le site appartenait à Unità,
les élus ont voulu marquer un point politique.
Malheureusement pour eux, ils se sont une nouvelle fois
tromper. ce site m'appartient... personne , je le répète
, personne ne me dicte mes actes. Je ne regrette pas
d'avoir permis la libre expression d'un internaute, même si
elle était virulente . J'assume ma responsabilité dans
cette affaire, mais je me défendrai. Les paroles s'envolent
les écrits restent. Je possède plus de Quinze ans
d'archives, alors les menaces et les injures des uns et des
autres, je peux les lister... Juste pour le plaisir...
Histoire de rappeler à certains qui se sont acheter une
virginité, leur passé peu glorieux... Dommage que
certains de nos compatriotes, tout comme les Français aient
la mémoire courte. Nous pas !
Anthony Simonpoli. Webmaster et seul
responsable du site Libertà et Unità Naziunale. (En deux ans
de présence sur le net et de propagande électronique, jamais
aucune pub pour le site n'a été faite par les structures
officielles du nationalisme).
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