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PROCES Dates des procès - informations - Actions de soutien En préparation...
Dernière mise à jour : 16/12/2016
Procès de la jeunesse
corse : Mises en examen pour les manifestations de soutien à Jean Guy Talamoni.
Procès en Janvier 2005. Mise en examen de Michel Giraschi, de Guillaume....
Procès de Dumè
Tafani, Edmond Melicucci et cédric Courbey le jeudi 13 janvier
Procès de jeunes dont
des militants de la Ghjuventù Paolina le Mardi 25 Janvier 2005 à Bastia.
Mica Cesari, jc benedetti, santoni antoine, matteo galet, massimu Susini, le
cas du jeune Alfonsi a été disjoint pour cause d'absence de son avocat.
Ont été réclamé dans l'ordre 3 mois, 5 mois, 6 mois, 6 mois et
8 mois de prison avec sursis. Verdict le 8 Février : Cinq étudiants ont été
condamnés mardi à cinq mois d'emprisonnement avec sursis par le tribunal
correctionnel de Bastia. Ces étudiants, âgés de 20 à 30 ans, ont été
condamnés pour "dégradations". L'un d'entre eux, également poursuivi pour
"violences sur personnes dépositaires de l'autorité publique", a été relaxé de
ce chef. Des peines de trois à six mois d'emprisonnement avec sursis avaient été
requises à leur encontre. Le 23 mars 2004, des nombreuses manifestations de
lycéens s'étaient déroulées dans plusieurs villes de l'île pour la défense de la
langue corse. A Corte, où se situe l'Université de Corse, lycéens et étudiants
avaient défilé avant que des incidents -incendie de conteneurs, projectiles
contre la sous-préfecture, dégradation d'un véhicule- ne viennent émailler la
fin de la manifestation.
Procès pour l'AMPHI DE
L'UNIVERSITA DI CORSICA GHJUV'BATTI ACQUAVIVA le 28 Janvier à Bastia.
Je
vous informe que l'audience, prévue initialement le 14 janvier, aura lieu ce
vendredi 28 janvier à 9h30 au Tribunal Administratif de Bastia (au Palais
de Justice prendre le boulevard Giraud ; au carrefour, la première villa sur la
droite est la Villa Montepiano qui abrite le TA). La décision sera connue
ultérieurement." Le commissaire du gouvernement du tribunal administratif de
Bastia a conclu, vendredi, à la non recevabilité d'un recours du recteur de
Corse visant à faire annuler une délibération de l'Université de Corse qui donne
le nom d'un militant nationaliste du FLNC à un amphithéâtre. Le commissaire
du gouvernement, qui dit la loi et dont les conclusions sont généralement
suivies par le tribunal, a en effet estimé que le recours du recteur était hors
délai et donc non recevable. Il a toutefois affirmé que le choix d'un nom
pour un bâtiment de l'Université de Corse était du seul ressort du président
Antoine Aiello, présent à l'audience, et que la délibération du conseil
d'administration, contestée, était donc illégale. Le recours avait été déposé le
17 décembre par le recteur Paul Canioni pour faire annuler une délibération de
l'université de Corse, installée à Corte (Haute-Corse), qui, entre autres,
baptisait du nom de Jean-Baptiste Acquaviva le nouvel amphithéâtre de son IUT.
Jean-Baptiste Acquaviva était un militant du FLNC, tué le 16 novembre en 1987
alors qu'il participait à l'attaque d'une ferme appartenant à un "pied-noir".
Me Angeline Simeoni, avocate du recteur a plaidé que la loi soumettait
l'éducation nationale au "principe de neutralité" et que le nom de Jean-Baptiste
Acquaviva était connoté, ne pouvant se réduire à son seul militantisme syndical
du temps où il était étudiant à l'université de Corte. Me Gilles Simeoni,
représentant l'université, a quant à lui martelé que le rectorat était
représenté au conseil d'administration de l'université ayant décidé du nom de
l'amphithéâtre le 22 septembre 2004 et que le recteur Canioni ne pouvait
prétendre ignorer ce choix. Il s'est ainsi étonné qu'il ait attendu près de
trois mois pour manifester son opposition à cette décision. Le 14
décembre, veille de l'inauguration de l'amphithéâtre de 120 places, les préfets
de Corse et de Haute-Corse, ainsi que les élus du Conseil exécutif de la
Collectivité Territoriale de Corse (CTC) n'ont pas souhaité y assister, jugeant
"choquante" la décision d'attribuer ce nom à la salle. Jugement :
L'Amphi
Acquaviva est finalement accepté.
Procès "Affaire
Zuccarelli"
:
Six proches des milieux
nationalistes corses comparaissent à partir de mercredi et jusqu'au 15
février devant la cour d'assises spéciale de Paris pour une tentative d'attentat
contre le maire de Bastia, Emile Zuccarelli le 24 mars 2002. Gérard Cianelli,
49 ans, médecin à Bastia, et Hervé Santelli, un antiquaire de 30 ans,
considérés comme les organisateurs de la tentative et actuellement détenus, sont
renvoyés avec Jean-Toussaint Bernardini, Benjamin Masclef, Jean-François
Semeria et Stéphane Vincent, qui comparaîtront libres. Ils seront jugés pour
"tentative de destruction du bien d'autrui en bande organisée par un moyen
dangereux pour les personnes et association de malfaiteurs en relation avec une
entreprise terroriste". Pour ce crime, chacun des accusés encourt une peine
de 30 ans de réclusion criminelle.
trois femmes dont deux compagnes,
avaient également été renvoyées devant les assises pour le délit connexe
d'association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste mais la
chambre de l'instruction de la cour d'appel de Paris a estimé, le 29 octobre
2003, qu'il n'existait pas de charges suffisantes contre elles.
10 ans de prison pour
Gérard Cianelli, 8 ans de prison pour hervé Santelli. Les quatre autres
accusés ont été condamnés à des peines de prison ferme pour partie assorties du
sursis.
Procès Casolasco
thierry : le 22 Mars.
Procès : Carlu PIERI, Filippu PAOLI, Ghjacumu MOSCONI, Andria NEGRONI, et Elodia PIERI,
Ghjuvan Guidu Talamoni... A partir du 10 Mars. 22 personnes en procès
Procès Francescu
Turchi, François Xavier Arrii,
Jean Christophe Parenti, Lucien Bianchi, Jean Marc Petrucci et Jean Do
Allegrini Simonetti
Procès DDE/URSSAF :
Avril 2005 -
Quinze nationalistes corses militants ont
été renvoyés devant la cour d'assises de Paris pour leur implication dans le
double attentat de novembre 1999 à Ajaccio contre la DDE et l'Ursaff.
Jean-Claude Ampart,
Nicolas et Simon Salvini
comme auteurs de l'attentat contre la direction départementale de l'équipement
et considéré Jo Peraldi, Jean-Antoine Fieschi, Jean-François Ramoin-Luciani,
Jean-Louis Orlandetti et Jean-Pierre Pierandrei comme complices., Trois autres
personnes sont renvoyées pour le délit connexe d'association de malfaiteurs en
relation avec une entreprise terroriste. Il s'agit de François-Ange Chabot,
Laurent Peraldi et Christophe Pirredu. |