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Vous connaissez un résistant corse ou présumé comme tel, vous travaillez avec lui ?

Vous êtes donc une cible des forces spéciales politiques. Ca n'arrive pas qu'aux autres !

Demain ca sera votre tours !

Votre crime ? Etre Corse.

Le 4 Octobre 2007 : Unità Naziunale, www.unita-naziunale.org. (Corse - Lutte de Masse)  La semaine dernière, une opération de la police répressive a eu lieu à Aleria et s'est soldée par l'interpellation de plusieurs personnes.  Corse matin du 5 octobre publie un article relatant l'affaire "Carlotti" et France 3 Corse y Consacre un reportage vidéo. 

Cette méthodologie répressive qui consiste à "casser" du corse et à "fabriquer" des preuves pour monter des dossiers contre d'autres corses éclatent au grand jour

voici l'article de Corse Matin et la vidéo de France 3 Corse

"Je ne suis pas un militant nationaliste."

D'emblée, François-Jean Carlotti, 33 ans, met les points sur les i. Entendu comme simple témoin en juin dernier dans un dossier anti-terroriste, ce petit cousin de Vincent Carlotti, ancien maire PS d'Aléria, a subi 60 heures de garde à vue la semaine dernière. Une garde à vue qualifiée « d'humiliante et violente ». Et a décidé de déposer plainte.

Le dossier en question est celui de l'attentat contre la maison d'Emile Zuccarelli à Sainte Lucie de Mercurio. Une affaire qui remonte au 30 octobre 2004. « Je suis entendu comme témoin à la gendarmerie d'Aléria et à l'issue de ma déposition, on me fait comprendre que cela ne va pas plaire !», explique François-Jean Carlotti. Ce dernier a simplement dit aux enquêteurs que son ami, soupçonné et travaillant avec lui dans une société de gardiennage, le remplaçait le jour de l'attentat

La porte du domicile des parents défoncée

« Dès l'été, j'ai senti que j'étais suivi, observé par la police, poursuit le jeune homme. Et mardi dernier, à 6 h 05, nous avons été réveillé, mes parents et moi, par des explosions. » François-Jean vit en famille à Aleria-gare. Il occupe un studio au rez de chaussée et ses parents, l'étage. C'est chez ces derniers que les policiers enfoncent la porte, à coups de masse. Apeuré, le père, Marius-Félix, 64 ans, gérant de société, croit à un cambriolage, une séquestration. Le fils ouvre sa porte et se retrouve face à un homme cagoulé qui le menace d'un fusil d'assaut, « je te tue, ne bouge pas... » C'est en apercevant un maître-chien que le père et le fils comprennent qu'il s'agit d'une interpellation. Les deux hommes sont amenés au commissariat de Bastia. « J'y suis resté 60 heures, raconte François-Jean Carlotti, et je dénonce aujourd'hui les méthodes, la manière. On a proféré des menaces contre ma mère, contre ma sœur. Je suis apolitique. J'ai maintenu ma déposition parce que c'est la vérité mais une personne fragile aurait pu craquer... et fabriquer, contre son gré, une contre-vérité. Aujourd'hui je suis obligé d'avoir un suivi médical et neurologique. »

« On a tenté de fabriquer des preuves ! »

Visiblement marqué, l'ancien vigile a pris un avocat à la sortie, bien sûr libre, de sa garde à vue. Maître Gilles Siméoni a décidé de déposer plainte contre X, de saisir le nouveau juge anti discrimination. « Vous vous rendez compte que l'on a tenté de fabriquer une preuve qui correspondait aux hypothèses policières ! Aucune charge ne pesait contre lui et on l'a gardé à vue 60 heures ! Avec tutoiement systématique, insultes et menaces de passer quatre mois de préventive à Paris ! Tout pour qu'il revienne sur son témoignage. Et son père est resté une journée en garde à vue... C'est un problème de justice mais aussi de démocratie. D'autres personnes ont subi ces traitements et n'ont jamais témoigné.

CHRISTOPHE LAURENT (CORSE MATIN)

  ANDATURA CORSA réagit suite aux révélations de la famille Carlotti à Aleria14/10/2007 ANDATURA CORSA réagit suite aux révélations de la famille Carlotti à Aleria. Suite à l'affaire Carlotti, Andatura Corsa par i Dritti Umani dénonce une fois de plus l'institutionalisation à travers la SDAT d'une 'justice' politique : elle bafoue les libertés et droits fondamentaux par ses pratiques policières ; elle méprise la justice en instruisant les dossiers strictement à charge et en élaborant des preuves après les arrestations. (source U Rinnovu du 14 octobre 2007)

Source photo et vidéo : France3CorseUnità Naziunale, Archives du site.
Source info :  Corse Matin, Unità Naziunale

© UNITA NAZIUNALE 1999 - 2007

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