Le
17 juin 2007 : Selon Alta Frequenza, (Francescu Maria Antona -
Alta Frequenza)
- Dominique Pasqualaggi se trouve toujours dans un état critique,
après la défenestration de jeudi soir à Paris. Hier (samedi), sa
soeur Bernadette a - enfin - pu voir son frère pendant "cinq
minutes" et ce après avoir subi une fouille au corps dans un hôpital
très surveillé.
Il faut dire que cette visite n'a pu être possible
qu'après une intervention de son avocat, Me Pascal Garbarini, et ce
après que cette dernière ait été reconduite dans un premier temps.
Deux jours après le drame, Bernadette Pasqualaggi a donc vu son
frère pendant un court instant, et a pu s'entretenir avec des
médecins.
Aujourd'hui, Dominique Pasqualaggi se trouve
dans le coma, plusieurs organes ont été touchés, de sorte que le
corps médical ne peut toujours pas se prononcer pour l'instant.
Dans ce contexte dramatique, il est difficile de
comprendre pourquoi la famille a toujours autant de difficultés pour
voir la victime, ou même avoir des nouvelles de son état de santé.
Nul doute que ce contexte aura pour conséquence de
tendre un peu plus la situation en Corse.
Selon l'article de Corse Matin, Bernadette
Pasqualaggi déclare que les médecins avaient des ordres (NDLR : Les
ordres venait directement de l'anti corse notoire Thiel) de ne pas
donner des nouvelles et qu'il fallait qu'elle s'adresse à un OPJ ou
directement au Juge d'instruction Thiel.
Quand Bernadette a enfin pu pénétrer dans la chambre
de son frère, elle a vu à l'intérieur deux policiers, dont un
portait une arme automatique en bandoulière et un gilet par balles.
La première remarque qui vient à l'esprit du compagnon de Bernadette
est de constater que c'est plus surveillés à l'hôpital qu'en garde à
vue.
Source photo :
Corse Matin du 15 juin 2007, Unità Naziunale, Archives du site.
Source info :
Alta Frequenza, Corse Matin, Unità Naziunale
© UNITA NAZIUNALE 1999 - 2007
Vos
réactions sur cet article ici :http://forucorsu.unita-naziunale.org/portal.php |