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 Le
28 juillet 2007 :
(Corse - Sulidarità)
Dominique Pasqualaggi, prisonnier politique "tombé" le Jeudi 14 juin
2007 du troisième étage les locaux de la SDAT (Sous Direction
Antiterroriste) lors d’un interrogatoire a quitté l’Hôpital de la
Salpetrière et est aujourd’hui incarcéré à FRESNES, toujours dans un
état critique sans soins ni accompagnement médical, abandonné dans
une chambre misérable comme poussé vers la fin.
Sa famille a constaté
après sa visite que : "les conditions sont déplorables, il est seul
dans un lit, sans aide, sans personne, sans kiné, sans rien , un
chien serait mieux traité, le personnel manque, son cas demandant
trop de soins alors le mieux c’est de pas en donner , débrouille
toi... je hurle ma douleur mais elle n’est rien à côté de sa
souffrance, il faut nous mobiliser car si cela continue , Dominique
ne reverra plus son Ile, je vous le dis, ceux ne sont pas des propos
alarmistes mais malheureusement la Vérité."
Au delà des aspects
juridique notre pays ne respecte pas le droit fondamental de chaque
être humain à accéder aux soins.
En outre, la loi du 4
mars 2002 relative aux droits des malades permet la suspension d’une
peine pour les condamnés atteints d’une pathologie engageant le
pronostic vital ou dont l’état de santé est durablement incompatible
avec le maintien en détention.
C’est le cas pour
Dominique et nous ne pouvons pas attendre les bras croisés que tous
cela passe.
Une pétition circule
pour que l’état respecte ses obligations et applique l’article 729
permettant une liberté conditionnelle pour que les soins nécessaires
lui soient prodigués.
Il est possible de
signer cette pétition au lien suivant :
http://s184473500.onlinehome.fr/petition/php/index.php
Lire la suite du dossier Unità Naziunale ici
(Dumè Pasqualaggi, articles communiqués vidéos)
Source photo :
Unità Naziunale, Archives du site.
Source info :
Prison.eu.org, Unità Naziunale
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