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FRANCESCU TURCHI L'IMPRIGHJUNATU Interpellé en JANVIER 2001 Procès le 20 mars 2006
 

http://www.oragora.com/cgi/forum1316.cgi?numforum=13166&th=3&session=43983bed795e092a&codep=&nbpage=1

 

PROCES FRANCESCU TURCHI : 8 ANS FERME

Procès du 20 Mars au 30 Mars

François TURCHI Huit ans fermes (5 ans de préventive)
François-Xavier ARRII Cinq ans dont quatre avec sursis,
Lucien BIANCHI Quatre ans dont deux avec sursis (peine couverte par la préventive),
Jean Christophe PARENTI Trois ans dont deux avec sursis.

 

Sans un appel, Lucien Bianchi doit retrouver la liberté jeudi soir, et Francescu Turchi pourra rejoindre sa famille et ses amis rapidement.

Les Plaidoiries :

La défense : « La défense de quatre hommes soupçonnés d'avoir appartenu à Armata Corsa a demandé mercredi à la cour d'assises spéciale de Paris de "refermer le dossier" de ce groupe clandestin corse, proche de François Santoni.

Des peines comprises entre cinq et douze années de détention ont été requises mardi contre François Turchi, Lucien Bianchi, François-Xavier Arrii et Jean-Christophe Parenti pour leur implication dans trois attentats et une tentative d'attentat revendiqués par Armata Corsa en 2000 et 2001.

La peine la plus lourde -douze ans de réclusion- a été réclamée à l'encontre de François Turchi, surpris le 28 janvier 2001 près des locaux de la direction départementale de l'équipement (DDE) de Corte avec, non loin de là, un sac rempli d'explosifs.

L'un des avocats de M. Turchi, Me Pascal Garbarini, a admis que les dénégations de son client étaient "stupides" mais il n'est "pas sérieux" de "présenter François Turchi comme le deus ex-machina du dossier".

Selon Me Garbarini, les accusés et tous les membres d'Armata Corsa - dont une vingtaine sur quarante ont été tués, a précisé l'avocat - ont été "manipulés" par François Santoni, leur "chef militaire".

Santoni, assassiné le 17 août 2001, a "instrumentalisé" Armata Corsa dans le le conflit qui l'opposait au leader nationaliste concurrent Charles Pieri. C'est dans ce contexte que Santoni va "utiliser" Turchi, selon Me Garbarini. Compte tenu des éléments à charge contre son client, Me Garbarini a estimé que "le dossier valait huit ans". Dans ce cas, ayant passé 62 mois en détention provisoire, François Turchi "pourra sortir" et "retrouver les siens".

Me Garbarini a demandé aux juges "de refermer le dossier Armata Corsa", une "organisation clandestine aujourd'hui obsolète".

Le verdict est attendu jeudi.

Un commentaire supplémentaire (observations dans la salle) concernant les autres accusés, que nous n'oublions pas :

« J'ai suivi ce matin la plaidoirie de maître Maisonneuve, toujours aussi brillant, concernant JC.Parenti qui devrait bien s'en tirer (2 à 3 ans dont du sursis probable), et celles plus difficiles de maîtres Casanova et Lucciani, défenseurs de François Xavier Arrii-Casanova. Dans cette affaire, c'est le seul qui a assumé ses actes au regard du droit pénal et de la parentelle parisienne. Résultat : 7 ans! Celà laisse rêveur ».

Aucun commentaire concernant les plaidoiries pour François Turchi

L'accusation : 12 ans, c'est la peine demandée par le Procureur de la République ce mardi 28 Mars 2006 contre François TURCHI.

La demande semble surréaliste quand on écoute le magistrat motiver ses réquisitions : "Je crois sans me tromper pouvoir dire qu'on peut craindre que M. Turchi n'ait rien compris et puisse persister dans l'idée que la violence permet de résoudre les choses".

12 ans c'est donc le prix qui serait à payer pour simplement rassurer quelqu'un, qui pourrait craindre qu'un détenu n'ait pas compris ce que c'est que la prison après 5 ans de détention sans jugement.

12 ans c'est la sanction qu'il faudrait appliquer après déjà 5 ans de ce traitement, à celui qui " pourrait persister dans l'idée que la violence permet de résoudre les choses".

12 ans c'est aussi un délai de condamnation dépassant légèrement celui qui permet de " couvrir " plus de 5 ans de détention provisoire.

Il faut souhaiter aux juges la clairvoyance et l'indépendance qui éviteront à une Cour le rôle d'une vulgaire chambre d'enregistrement. Il faut souhaiter à des hommes l'humanité qui combat mieux la violence que la crainte.

Nous attendons avec impatience mais sérénité la voix de la défense. Celle de ce droit imprescriptible, qui est bafoué depuis 5 ans au nom de la crainte, la simple crainte d'un homme.

 

Source photo : VOCE POPULARE
Source info :
redacbattifocu@eml.cc / La rédaction du site http://www.battifocu.com/

 

 

 

Samedi 25 Mars 2006 : A l'appel de Voce Populare et du comité de soutien à Francescu TURCHI, plus d'une centaine de personnes se sont réunis devant la sous-préfecture de Calvi pour effectuer un barrage filtrant. Reçu par le sous-préfet, les représentants du comité de soutien et de Voce Populare ont adressé une lettre ouverte au ministre de la justice pour qu'il assume toute ses responsabilités dans cette affaire. Les représentants ont ensuite pris acte de la fin de non-recevoir de Ange SANTINI, président du conseil exécutif qui n'a pas répondu à notre demande d'audience afin d'interpeller l'assemblée sur les disfonctionnement de l'appareil judiciaire concernant les corses. Le rassemblement s'est dissout dans le calme vers 18h. Nous entendons intensifier notre campagne sur le terrain et nous rendrons publiques dans les prochains jours ces documents. Nous regrettons toutefois l'absence de prise de position des associations humanitaires et des partis nationalistes et, pensons que cela viendra avant le délibéré attendu vendredi.

Source photo : Voce Populare (Affiche du collectif de soutien à Turchi F.)
Source info : Voce Populare

 
LE TRACT DISTRIBUE LORS DU RASSEMBLEMENT DE SOUTIEN A FRANCESCU TURCHI LE 25 MARS 2006

« Voce Populare et le Collectif de soutien à

François TURCHI exigent un procès équitable ! » 

Une détention provisoire scandaleuse : Cinq années d’emprisonnement !

 Le 1er février 2001 François Turchi, alors enseignant en économie était mis en examen pour une tentative d’attentat contre la D.D.E à Corte. Deux autres personnes F.X Arrii et  J.C Parenti, appréhendées également en flagrant délit pour cette tentative allaient être placées en détention.

 Le 25 mars 2002 l’appareil judiciaire fonctionnera correctement et l’esprit du droit sera appliqué pour Parenti et Arrii, puisque le juge des libertés rendra une ordonnance de mise en liberté concernant le mandat de dépôt de février 2001. Ce ne sera pas le cas pour François TURCHI, ni Lucien BIANCHI, interpellé peu après. Commence alors un régime d’exception à l’encontre de François Turchi, que nous entendons dénoncer.

 En effet, le 23 janvier 2003, le juge des libertés rend une ordonnance de mise en liberté pour ce mandat, mais contrairement à ce qui s’était passé pour Arrii et Parenti le parquet fait appel et la chambre de l’instruction annule l’ordonnance et reconduit le mandat de dépôt le 21 février 2003. Pourquoi François Turchi ne peut-il pas bénéficier du régime de droit appliqué aux deux autres personnes interpellées et répondant au même chef d’accusation : première énigme !

 Deuxième énigme dans le régime d’exception au droit dont pâtit François Turchi  depuis le 1er février 2001 : craignant de voir aboutir une ordonnance de mise en liberté, puisque François reconnaît les faits qui lui sont reprochés et que la défense ne pose aucune obstruction à la procédure, deux mandats de dépôt pour deux attentats distincts font leur apparition. François Turchi clame son innocence, mais il faudra attendre octobre 2003 pour que ces mandats de dépôts, au vu des éléments du dossier ne soient pas reconduits et, disparaissent aussi mystérieusement qu’ils sont apparus, puisque le parquet curieusement ne fera pas appel de l’ordonnance de mise en liberté pour ces mandats !

 Depuis cette date (octobre 2003) François Turchi a été maintenu en détention sans que plus rien ne se passe ; toutes les demandes de remise en liberté ont été refusées sous le prétexte suivant : « La situation de François Turchi est différente ! »

Un traitement d’exception fondé sur  un profil ; « Le cas TURCHI est différent ! »  

Nous entendons aujourd’hui et dans les semaines qui viennent tirer au clair cette différence de traitement qui permet de maintenir au ban de la société un enseignant et un père de famille pendant cinq ans !

 Résumons :     

- Même acte, même chef d’inculpation mais un traitement différent des coauteurs.

-Des mandats qui apparaissent puis disparaissent aussi mystérieusement.

-Un acharnement de l’institution sur une personne au détriment d’un jugement fondé sur des faits.

 Tout cela vient confirmer ce que la place publique a récemment découvert dans un livre édifiant sur la 14ième section antiterroriste ; on ne juge pas un militant politique sur des faits mais on le traite à partir de son profil !

 Que révèle le profil de François Turchi, sinon  les avatars de « la piste intellectuelle » déployée en Corse. Parce qu’il est enseignant, militant connu et respecté d’un syndicat nationaliste et animateur d’un site Internet ouvert à la libre pensée, François Turchi fait les frais de cette chasse aux sorcières dont les Corses pâtissent depuis les délires de la place Beauvau.

 L’examen des faits, et des faits seulement, conduit Voce Populare et le collectif de soutien à François Turchi à alerter l’opinion publique ; la mobilisation est indispensable pour que François puisse bénéficier d’un procès équitable.

 Après avoir instruit un profil, ils vont juger une image 
Nous ne le permettrons pas !
Nous voulons un procès équitable à partir de faits établis !
 

«  Ghjustizia pè Turchi ! »

 

Source photo : Voce Populare (Affiche du collectif de soutien à Turchi F.)
Source info : Voce Populare

 
APPEL A RASSEMBLEMENT
GHJUSTIZIA PER TURCHI

Voce Populare et le collectif de soutien à François Turchi entend informer le peuple corse de la mise au ban de François par un tractage massif durant la semaine à venir qui ouvrira sur un rassemblement devant la sous-préfecture de Calvi le samedi 25 mars.

Un texte sera remis au président de l’assemblée de Corse ainsi qu’au sous-préfet afin que chacun assume ses responsabilités respectives pour que cesse ce régime d’exception.

Nous appelons les associations humanitaires, les groupes culturels et les partis politiques à prendre position publiquement afin que François TURCHI bénéficie d’un procès équitable

 

 

 

Source photo : Voce Populare (Affiche du collectif de soutien à Turchi F.)
Source info : Voce Populare

 
GHJUSTIZIA PER TURCHI

Source photo : Voce Populare (Affiche du collectif de soutien à Turchi F.)
Source info : Voce Populare

 
VOCE POPULARE : GHJUSTIZIA PER TURCHI

Bastia, le samedi 18 mars 2006 E.C

« Voce Populare et le Collectif de soutien à François Turchi exigent un procès équitable ! »

 Une détention provisoire scandaleuse : Cinq années d’emprisonnement ! 

Le 1er février 2001 François Turchi, alors enseignant en économie était mis en examen pour une tentative d’attentat contre la D.D.E à Corte. Deux autres personnes F.X Arrii et  J.L Parenti, appréhendées également en flagrant délit pour cette tentative allaient être placées en détention.

 Le 25 mars 2002 l’appareil judiciaire fonctionnera correctement et l’esprit du droit sera appliqué pour Parenti et Arrii, puisque le juge des libertés rendra une ordonnance de mise en liberté concernant le mandat de dépôt de février 2001. Ce ne sera pas le cas pour François TURCHI, ni Lucien BIANCHI, interpellé peu après.  

 Commence alors un régime d’exception à l’encontre de François Turchi, que nous entendons dénoncer.

 En effet, le 23 janvier 2003, le juge des libertés rend une ordonnance de mise en liberté pour ce mandat, mais contrairement à ce qui s’était passé pour Arrii et Parenti le parquet fait appel et la chambre de l’instruction annule l’ordonnance et reconduit le mandat de dépôt le 21 février 2003. Pourquoi François Turchi ne peut-il pas bénéficier du régime de droit appliqué aux deux autres personnes interpellées et répondant au même chef d’accusation : première énigme !

 Deuxième énigme dans le régime d’exception au droit dont pâtit François Turchi  depuis le 1er février 2001 : craignant de voir aboutir une ordonnance de mise en liberté, puisque François reconnaît les faits qui lui sont reprochés et que la défense ne pose aucune obstruction à la procédure, deux mandats de dépôt pour deux attentats distincts font leur apparition. François Turchi clame son innocence, mais il faudra attendre octobre 2003 pour que ces mandats de dépôts, au vu des éléments du dossier ne soient pas reconduits et, disparaissent aussi mystérieusement qu’ils sont apparus, puisque le parquet curieusement ne fera pas appel de l’ordonnance de mise en liberté pour ces mandats !

 Depuis cette date (octobre 2003) François Turchi a été maintenu en détention sans que plus rien ne se passe ; toutes les demandes de remise en liberté ont été refusées sous le prétexte suivant : « La situation de François Turchi est différente ! »

Un traitement d’exception fondé sur  un profil ; « Le cas TURCHI est différent ! »  

 Nous entendons aujourd’hui et dans les semaines qui viennent tirer au clair cette différence de traitement qui permet de maintenir au ban de la société un enseignant et un père de famille pendant cinq ans !

 Résumons : - Même acte, même chef d’inculpation mais un traitement différent des coauteurs.

                   -Des mandats qui apparaissent puis disparaissent aussi mystérieusement.

                   -Un acharnement de l’institution sur une personne au détriment d’un jugement fondé sur des faits.

 Tout cela vient confirmer ce que la place publique a récemment découvert dans un livre édifiant sur la 14ième section antiterroriste ; on ne juge pas un militant politique sur des faits mais on le traite à partir de son profil !

 Que révèle le profil de François Turchi, sinon  les avatars de « la piste intellectuelle » déployée en Corse. Parce qu’il est enseignant, militant connu et respecté d’un syndicat nationaliste et animateur d’un site Internet ouvert à la libre pensée, François Turchi fait les frais de cette chasse aux sorcières dont les Corses pâtissent depuis les délires de la place Beauvau.

L’examen des faits et des faits seulement conduit Voce Populare et le collectif de soutien à François Turchi à alerter l’opinion publique ; la mobilisation est indispensable pour que François puisse bénéficier d’un procès équitable.

Voce Populare et le collectif de soutien à François Turchi entend informer le peuple corse de la mise au ban de François par un tractage massif durant la semaine à venir qui ouvrira sur un rassemblement devant la sous-préfecture de Calvi le samedi 25 mars. Un texte sera remis au président de l’assemblée de Corse ainsi qu’au sous-préfet afin que chacun assume ses responsabilités respectives pour que cesse ce régime d’exception.

Nous appelons les associations humanitaires, les groupes culturels et les partis politiques à prendre position publiquement afin que François TURCHI bénéficie d’un procès équitable.

Après avoir instruit un profil, ils vont juger une image ;

Nous ne le permettrons pas !

Nous voulons un procès équitable

à partir de faits établis !

«  Ghjustizia pè Turchi ! »

Source photo : Voce Populare
Source info : Voce Populare

 

 
François TURCHI, LE PRISONNIER. 5 ANS DE PRISON FRANCAISE, SANS JUGEMENT…

François TURCHI est emprisonné en France depuis 5 ans sans jugement.

Depuis janvier 2001, François TURCHI est détenu, attendant d’avoir un procès devant un Tribunal Français.

Toutes les demandes pour sa mise en liberté ont été rejetées.


Il a été mis en examen pour une supposée tentative d’attentat à la bombe de nuit à CORTE (Haute Corse) contre un bâtiment public vide, afin d’obtenir une augmentation des investigations de la police et de la justice à propos de l’assassinat de son ami Jean-Michel ROSSI par la MAFIA le 7 Août 2000.

Actuellement les lois Françaises disposent que nul ne peut être détenu plus de 4 années sans procès et jugement, même exceptionnellement. La France est un pays supposé respecter les droits de l’homme.
Dans le cas de François TURCHI, LES DROITS DE L’HOMME NE SONT PAS RESPECTES.

Le journal Battifocu, auquel François TURCHI appartient, rejette la violence comme voie politique.
Notre avis est que François TURCHI est détenu, non pas pour une supposée tentative d’attentat, mais juste parce qu’il a dit clairement que la justice Française était trop lente et la police française pas assez motivée pour enquêter correctement sur l’assassinat d’un opposant politique.

Etrangement, les amis de Jean-Michel ROSSI et la plupart des participants à son cercle de réflexion politique nommé « Presenza Naziunale » ont été assassinés, avec parfois torture précédant la mise à mort, par des criminels depuis 2001.

La jeune épouse de François TURCHI est MORTE l’an dernier.
Il n’a même pas été autorisé à assister aux obsèques de sa femme.
Sa fille Stella, née après son emprisonnement, n’a jamais vu son père libre DEPUIS QU’ELLE EST NEE.

Ce n’est pas notre histoire, c’est l’histoire simple d’un homme qui a risqué sa liberté en mémoire d’un autre ami, assassiné pour avoir été contre la MAFIA en Corse.
C’est l’histoire d’une nouvelle/vieille façon de faire taire la voix des opposants politiques dans une « démocratie ».
C’est l’histoire de Stella, d’une petite fille de quatre ans sans mère, qui ne peut vivre avec son père, détenu pour une raison d’Etat que seul l’Etat connaît.

Notre adresse :
redacbattifocu@eml.cc - Notre site : http://www.battifocu.com


 

 

*****

Francois TURCHI, THE PRISONNER. 5 YEARS IN FRENCH JAIL, WITHOUT JUDGEMENT…
Francois TURCHI is imprisoned in France since 5 years without a judgement.
Since January 2001, Francois TURCHI is prisoner, waiting to have trial by a French Tribunal.
All requests for his liberation have been rejected.

He has been indicted for an alleged tentative regarding a night bomb attack in CORTE (Corsica island) against an empty public building, in order to obtain increased police and justice investigations about his friend Jean-Michel ROSSI’s assassination by MAFIA on August 7th 2000.

Presently the own French laws provide that nobody can be detained without trial and judgement more than 4 years, even exceptionally. France is a country allegedly respecting human rights.
Regarding François TURCHI, HUMAN RIGHTS ARE NOT RESPECTED.

Battifocu journal, whose François TURCHI is belonging to, rejects violence as a political way.
Our opinion is : Francois TURCHI is detained pending trial, not for an alleged attempted bomb attack, but just because he claimed clearly French justice was too slow and French police not motivated enough to investigate correctly on a political opponent ‘s assassination.

Strangely, friends of Jean-Michel ROSSI and most of the participants in his political reflection group called “Presenza Naziunale” have been assassinated, even tortured before murder, by criminals since 2001.

Francois TURCHI’s young wife DIED last year. He was not even allowed to participate to his wife’s burial.
His daughter Stella, born after his imprisonment, has never seen her father free SINCE SHE IS BORN.

It is not our story, it is the simple story of a man taking the risk of his liberty in memory of another friend, murdered to be against MAFIA in Corsica.
It is the story of a new / old way to shut up the voice of political opponents in a so-called “democracy”.
It is the story of Stella, a four-years-old girl without mother, that cannot live with her father, detained for State reason, that State only knows.

Our Address:
redacbattifocu@eml.cc - Our Website: http://www.battifocu.com
 
Francescu Turchi, l'imprighjunatu.
Francescu Turchi, 5 anni di prighjò, senza ghjudicamente.
Francescu Turchi hè imprigiunatu in Francia dipoi à 5 anni senza ghjudicamente.
Dapoi à Ghinaghju di u 2001, Francescu Turchi hè incarceratu, aspittendu d'avè un prucessu davanti à un tribunale francese. Tutt'i dumandi di liberazione so stati riccusati.

 
Hè statu missu in esamine per una sottuposta tentativa d'attentatu cù bomba, di notte in Corti (Corsica Suprana) incontr'à un edifiziu publicu biottu, ind'u scopu d'ottene dipiù investigazione di a pulizia e a ghjustizia ind'è l'inguesta di l'assassinu d'u so amicu Ghjuvan Michele Rossi dà a mafia u 7 d'aostu di u 2000.


Attualmente, a leghje francese dice chi nimu ùn po esse incarceratu più di 4 anni senza prucessu e ghjudicamente, mancu di manera ecceziunale.
A Francia hè un paese chi si vole rispitosu di i diriti di l'omu. Invece, ind'u casu di Francescu Turchi, quissi diritti ùn la sò rispitatti.

 
 
U ghjurnale Battifocu, di u quale si sente Francescu Turchi, riccusa a viulenza come via pulitica.
U nostru avisu, hè chi Francescu Turchi ùn hè oghje incarceratu, pà una sottuposta tentativa d'attentatu, mà solu per avè dittu di manere chjara chi a ghjustizia francesa era troppu loscia e a pulizia francesa pocu e senza motivazione pà investigà  cum'ellu ci voleria sopr'à l'assassinu d'un oppostu puliticu.

 
Stranamente sò stati asssassinati guasgi tutti l'amichi e participenti di u spaziu di riflissione pulitica di Ghjuvan'Michele Rossi "presenza naziunale", certi volti, ancù tortura innanzu d'esse tumbati dà  criminali dapoi à u 2001
 

A povara migliuccia di Francescu turchi hè morta l'annu scorsu. Un li hè statu permessu di participà à l'esequie d'a so moglia. A so figliola, Stella, nata dopu à a so incarcerazione, ùn ha mai vistu u so babu liberu dapoi ch'ella campa.


 
Ùn hè a nostra storia, hè quella d'un bravu omu sinceru chi ha risicatu a so libertà in mimoria d'u so amicu, tombu pà esse statu contru a mafia in corsica.

 
 
Hè a storia d'una nova e vechja manera di fà stà zitta a voce di l'oppunenti pulitichi in "dimucrazia".
Hè a storia di Stella, zitelluccia di 4 anni ch'ùn ha più a so mame, ch'ùn pò campaà incù u so babbu, incarceratu per a raghjone d'un statu, chi solu u statu cunosce

 

http://www.oragora.com/cgi/forum1316.cgi?numforum=13166&th=3&session=43983bed795e092a&codep=&nbpage=1