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COMITE DE SOUTIEN A ALAIN FERRANDI ET PHILIPPE FABRI


 

ALANU FERRANDI

Dans le but de suivre un stage, Alain Ferrandi est transféré pour quatre mois environ à la maison centrale de Saint Maur. A l'issue, il retournera à Poissy.

Voici sa nouvelle adresse durant la période considérée :
Maison centrale Saint Maur
4230 B228
Bel-Air
36255 saint Maur Cedex

Source photo : Unità Naziunale, Archives du site.
Source info :  Unità Naziunale

© UNITA NAZIUNALE 1999 - 2006

Vos réactions sur cet article ici : http://www.unita-naziunale.org/agora/viewforum.php?f=18

 

 
Lettre  d'Alain Ferrandi pour lancer un débat

Le 18 septembre 2006 : Alain Ferrandi a tenu à réagir aux évènements récents et à la situation actuelle de notre terre et de notre peuple qu’il juge inquiétante.

Ces lignes n’engagent que leur auteur et ceux qui partagent la pertinence du propos. En aucun cas elles ne peuvent être considérées comme avalisées par l’ensemble des signataires de pétition ou adhérents au Comité de soutien.

Alain, persuadé de l’efficacité des techniques nouvelles, désire utiliser celles-ci pour redonner la parole aux militants. Par l’intermédiaire d’internet, il désire « lancer le débat, de façon humble, sans prétention aucune » ; il est disposé à répondre à vos questions.

Lire la suite de l'article ici

Source photo : Cuscenza Viva, Unità Naziunale, Archives du site.
Source info :  Cuscenza Viva, Unità Naziunale

© UNITA NAZIUNALE 1999 - 2006

 

 
Cuscenza Viva, le comité de soutien à Alain Ferrandi et Philippe Fabri

Le 29 aout 2006 : Douze mois après la tentative d’assassinat perpétrée sur les personnes d’Alain FERRANDI et Philippe FABRI dans l’enceinte de la centrale de Clairvaux, les lenteurs de l’administration judiciaire n’ont toujours pas permis de répondre aux interrogations que nous avons formulées lors de notre conférence de presse du 29 avril.

Cependant, la création de notre comité de soutien, auquel ont spontanément adhéré des centaines de personnes, a permis de sensibiliser les élus de la Collectivité territoriale. Ainsi, l’Assemblée de Corse a-t-elle voté à l’unanimité une motion demandant au Gouvernement et au Ministère de la justice que toute la lumière soit rapidement faite sur cette agression.

lire la suite de l'article ici

Source photo : Cuscenza Viva, Unità Naziunale, Archives du site.
Source info :  Cuscenza Viva, Unità Naziunale

© UNITA NAZIUNALE 1999 - 2006

 
 
COMITE DE SOUTIEN A ALAIN FERRANDI ET PHILIPPE FABRI

Samedi 29 avril se tenait à Ajaccio la conférénce de presse du comité de soutien à Alain Ferrandi et Philippe Fabri. Voici l'intégralité de la conférence de presse

Léon FABRI, Emmanuelle LE BALER-FERRANDI, Jean-Marc RODRIGUEZ,
Thierry CASANOVA, François FERRANDI, Marceau SIMEONI
Ajaccio, hôtel Impérial, le 29 avril 2006.


Nous avons décidé de constituer un Comité de soutien pour Alain FERRANDI et Philippe FABRI car nous estimons que les autorités pénitentiaires et judiciaires ne sont pas en mesure d’observer, en ce qui les concerne, le principe même des droits de l’homme.

Condamnés pour des faits qu’ils ont assumés; la privation de liberté est la seule sanction légale qui devrait leur être appliquée. Or, il est évident que la sécurité, la reconnaissance juridique et le respect des personnes incarcérées ne sont pas assurés par les services de l’état.

L’agression dont Alain FERRANDI et Philippe FABRI ont été victimes, le 7 août 2005, nous interpelle sur plusieurs points    :

Comment, au sein d’une Centrale sécuritaire comme celle de Clairvaux, un détenu particulièrement surveillé a-t-il pu être agressé sauvagement pendant plusieurs minutes sans qu’aucun surveillant ne soit intervenu ?

Pourquoi la version de l’agression donnée immédiatement aux medias par un personnel surveillant est-elle délibérément erronée et fait-elle mention d’une rixe entre détenus sur fond de « caïdat » alors que l’administration considérait Alain et Philippe comme des prisonniers modèles ?

Pourquoi, huit mois après l’agression, le dossier n’avait-t-il pas avancé ? Seule la parution d’un article dans la revue Corsica a provoqué l’audition des victimes !

Pourquoi les deux premiers juges ont-t-ils été dessaisis de l’affaire ?
Fort heureusement le juge actuel semble décidé à instruire enfin le dossier !

Quelle est la situation carcérale des agresseurs, est-il vrai que deux d’entre eux ont bénéficié de permissions de sortie pour les fêtes de fin d’année et que l’un des deux n’a pas réintégré sa prison ?

Enfin, dernière interrogation et pas la moindre : comment des pièces à conviction de l’agression ont-elles pu être manipulées ou disparaître?
(Aucune fouille immédiate dans les cellules des agresseurs présumés ; ouverture prématurée du scellé contenant une des armes de l’agression ; dissimulation de l’existence d’une caméra susceptible d’avoir filmé les faits !)

Il est bon de rappeler, qu’après les premières constatations des faits, Madame
la procureur de Troyes a très clairement qualifié l’agression de « tentative
d’assassinat » ! Alain FERRANDI doit tout simplement la vie à la présence de
Philippe FABRI sur les lieux du drame.
Cette considération nous conforte dans l’idée que le regroupement des prisonniers politiques est, à l’heure actuelle, le moyen le plus efficace pour garantir leur sécurité.

Le traitement judiciaire de ce dossier démontre la volonté, à peine dissimulée, de l’Etat français d’abandonner les deux victimes de l’agression dans un état permanent d’insécurité et de doute.
Les conditions anormales du suivi postopératoire d’Alain FERRANDI attestent de la mauvaise volonté de la pénitentiaire à assurer les soins psychologiques, névralgiques et bucco-dentaires indispensables.

Au-delà du non-respect de l’intégrité morale et physique d’Alain FERRANDI et de Philippe FABRI nous nous interrogeons sur :

 

  • les risques que l’impunité peut entraîner sur leur sécurité au sein d’un
    établissement pénitentiaire ;

  • de la volonté de l’institution judiciaire à vouloir traiter de façon équitable un
    dossier concernant un condamné à perpétuité pour l’assassinat d’un préfet ;

  • et enfin, sur l’indépendance de la justice par rapport au pouvoir exécutif.

 

Nous avons décidé d’alerter les instances les plus hautes pour que la lumière soit faite autour de ce grave évènement :

Tout d’abord l’Observatoire International des Prisons.

Ensuite, la Collectivité Territoriale de Corse en la personne du Président de l’Assemblée et des Présidents de groupes ;

Enfin, la Commission Nationale de Déontologie de la Sécurité, conformément à la loi N°2000-494 portant sur le respect de la déontologie par les personnes exerçant des activités de sécurité sur le territoire de la République.

L’état de délabrement de l’administration pénitentiaire, dénoncé dans un premier temps par le Docteur VASSEUR, a provoqué dès 1999 une enquête parlementaire.
Faisant suite à un premier rapport alarmant de l’Assemblée nationale, le rapport du Sénat était intitulé sans ambiguïté: « Prisons, une humiliation pour la France » et se terminait par ces termes : « Il y a urgence, il y a urgence depuis deux cents ans ». Ces deux rapports datent de l’an 2000…Force est de constater, aujourd’hui, qu’ils sont restés lettres mortes.
En 2005, « l’appel des 200 » n’a trouvé aucun écho et les récentes accusations du Commissaire européen Gil Robles viennent confirmer les usages d’un autre âge en vigueur dans les prisons françaises.

Le Ministère de la Justice victime de ses errements surannés a montré, dans plusieurs affaires récentes, son incohérence et ses dérives ; l’agression, dont Alain Ferrandi et Philippe Fabri ont été victimes, confirme son fonctionnement léonin et démontre les lacunes de l’administration pénitentiaire et la honte de la prison républicaine.

L’administration française bafoue ses propres lois en maintenant les prisonniers politiques corses à des centaines de kilomètres de leurs lieux de résidence, appliquant ainsi la double peine aux détenus et à leurs familles.
La demande de « rapprochement des prisonniers » est devenu un réel levier de chantage de la part de l’état français et a été suivi de peu d’effets. Pour être efficace, il faut que cette requête devienne une injonction portée par l’ensemble de la classe politique obligeant la justice française à appliquer tout simplement ses propres lois en mettant la France en conformité avec ses principes…

Nous appelons tous les hommes et les femmes de bonne volonté épris de justice et d’humanisme à rejoindre le Comité de soutien d’Alain FERRANDI et de Philippe FABRI.

source : Cuscenza Viva

 

Lire l'article sur Corsica : http://info.club-corsica.com/soc_79_025.html

Source photo : Comité anti répression
Source info :  Internet

 

 
U STATU FRANCESE ASSASSINU !!!
GHJUVAN'BATTISTA ACQUAVIVA, ALANU FERRANDI, MARCEL ISTRIA E TANTI ALTRI

affiche acquaviva2.jpgIl y a des questions que nous devons nous poser devant la longue liste d'exaction de l'Etat colonial contre nos militants. 

Nous pouvons nous poser la question légitime de savoir pourquoi au bout de 19 ans, la police met autant de hargne à enquêter sur la mort du gendarme "Aznar" en pratiquant les prélèvements d'ADN et autant de "lascia corre" sur l'enquête qui concerne la mort de Ghjuvan'Battista Acquaviva. A-t-on procédé à un prélèvement d'ADN sur le COLON ROUSSEL depuis l'assassinat de notre frère de lutte en 1987 ? Y a t il eu une véritable enquête depuis 19 ans ?

De la même manière que l'Etat colonial a organisé la cavale de l'assassin de Ghjambattista, on peut se poser la question de savoir si ce même Etat n'a pas organisé la cavale de celui qui a essayé de tuer Alain Ferrandi l'année dernière. Un des protagonistes de la tentative d'assassinat contre Alanu Ferrandi à bénéficié d'une permission de sortie et depuis il est en cavale. Voilà comment on remercie les "assassins" de militants Corses en France en les laissant partir en permission. Pendant que ceux qui tentent de tuer nos militants se promènent en liberté, les prisonniers politiques corses, eux sont entravés comme des animaux pendant que les médecins opèrent ou pratiquent les soins de premières urgences.

Ce qui est arrivé à Marcel Istria lors d'un parloir est inadmissible, victime d'un problème cardiaque, il a du attendre plus de 4 heure qu'on l'emmène aux urgences de l'hôpital qui se trouve à 1/4 d'heure de la prison. Une fois arrivée aux urgences, ses gardiens n'ont pas trouvé mieux que de partir en emportant les clefs de ses menottes. Marcel Istria a du passer plus de 4 jours menottés sans pouvoir se laver ou se changer.

Cette triste affaire n'est pas sans rappeler le cas de notre Fratellu Michel Henry, militant du FLNC, emprisonné pour Sperone en 1994. affiches02.jpgMichel Henry se plaignait d'atroces douleurs dans la bouche, les services pénitenciers n'ont rien trouvé de mieux que de lui donner des dolipranes alors qu'il avait un CANCER. Michel Henry est mort de cette maladie non soignée quelques temps plus tard.

Quand on découvre que l'Etat et ses barbouzes avaient projetés de tuer des militants de la Cause Corse, que ce même Etat met le feu au paillotte, dépose des explosifs pour accuser des nationaux ou fabriquent des faux procès verbaux pour garder plus de 7 ans en préventive des innocents, le mouvement national doit faire l'Unité Nationale et cela rapidement.

LE REGROUPEMENT DES PRISONNIERS POLITIQUES, LE RAPPROCHEMENT ET LA LIBERATION DE NOS PRISONNIERS DOIVENT ÊTRE MIS EN PLACE LE PLUS TOT POSSIBLE !

LAZEZU

 

 
 

Source photo : U Ribombu
Source info :  Internet

 

 

Soutien à Alain Ferrandi

Le comité Lagundu(comité de soutien à Filipe Bidart), la CAR Pays Basque et le comité Askatasuna(soutien à l’ensemble des prisonniers politiques basques) dénoncent avec la plus grande fermeté le linchage prémédité du prisonnier politique Corse Alain Ferrandi qui s’est déroulé ce dimanche 7 Aout à la prison de Clairvaux .

Nous nous interrogeons sur les raisons et l’organisation de cette tentative de meurtre et nous voulons clairement mettre en évidence la responsabilité de l’administration pénitentiaire qui n’a rien fait pour arrêter le tabassage organisé des deux militants Corses et qui , de plus, a tardé à leur venir en aide .

Alain Ferrandi a été transporté d’urgence à l’hôpital de Reims dans un état très grave et Fabri Filippu, blessé moins grièvement, à été mis à l’isolement.

Le collectif des prisonniers politiques Basques de Clairvaux , qui se trouvent dans l’autre bâtiment de la centrale a immédiatement protesté auprès de la direction de l’établissement en dénonçant les circonstances de cette tentative d’homicide et rappellant que leur demande de regroupement avec les prisonniers Corses n’ait pas été accepté jusqu’à ce jour.

Nous apportons notre soutien à nos frères de lutte lâchement attaqués à leurs familles ainsi qu’à l’ensemble du mouvement de lutte de libération de la Corse.

 

 

Témoignage intra muros de la tentative d'attentat contre Alanu FERRANDI

Le dimanche 7 Août au matin Alain Ferrandi et Filippu Fabri ont été victime d’une très violente agression programmée.

Un groupe de 4 individus : Marco D., Louis F., Didier C. menés par un certain B., a organisé un guet-apens à l’encontre des prisonniers politiques Corses. Un des 4 individus est directement venu bousculer Alain qui a immédiatement été agressé par 2 autres individus qui se trouvaient derrière lui et qui l’ont de suite frappé avec des boules de pétanque dans des chaussettes.

Fabri Filippu qui se trouvait un peu plus loin est venu secourir son camarade mais il a vite été mis K.O. par les individus qui l’attendaient avec leurs boules de pétanque. Les malfrats se sont plus particulièrement acharnés sur Alain Ferrandi, couché au sol, qui essayait de se protéger la tête.

Même si le tabassage n’a pas duré bien longtemps, les gardiens ne sont pas intervenus pour l’arrêter, et lorsque les deux corps inanimés gisaient au sol dans une flaque de sang, ce sont d’autres détenus qui ont traîné les corps vers la porte et c’est à ce moment que les gardiens sont venus les secourir.
 

Témoignage intra muros de Clairveaux

Source photo : Comité anti répression
Source info :  Internet

 

 

Conférence de presse du C.A.R /  A RISCOSSA PAISANA du 12 août 2005

Dimanche 7 août, les limites de l’intolérable ont été franchies dans une prison française. A la Centrale de Clairvaux, deux patriotes corses ont été lâchement agressés par des détenus. Philippe Fabbri a eu des côtes fêlées, la cage thoracique enfoncée, et se trouve aujourd’hui confiné à l’isolement. Le sort d’Alain Ferrandi est malheureusement plus préoccupant. Alors qu’il se rendait à une activité, quatre détenus l’ont sauvagement attaqué, utilisant des boules de pétanques, et se sont acharnés sur lui. C’est une véritable tentative d’assassinat. Rendus forts par l’effet de meute, ces chiens enragés l’ont laissé pratiquement pour mort. Transféré en urgence dans un hôpital de Troyes, il n’a pas pu être opéré sur place car seul un spécialiste de la neurologie pouvait effectuer cette opération. Alain Ferrandi a donc été transféré en urgence dans un autre hôpital, à Reims, pour être opéré d’un hématome à la tête. Le lendemain matin, la famille Ferrandi n’avait toujours pas de nouvelles de cette opération et ne savait même pas si Alain était toujours en vie… Cette attitude inhumaine des responsables de l’administration pénitentiaire est révoltante.

Lire la suite (...)

Source photo : Unità Naziunale
Source info :  Comité anti répression / Riscossa Paisana


Archive photo Unità Naziunale : Conférence de presse A Riscossa Paisana  / Comité Anti Répression

 

 
Plus de 200 personnes au rassemblement de soutien à Alain Ferrandi

Source photo : Unità Naziunale
Source info :  Internet

 
 

ALANU FERRANDI, MILITANT POLITIQUE CORSE, agressé prison

Unità Naziunale manda u so sustegnu a alanu ferrandi e a so famiglia
 

Source photo : Comité anti répression
Source info :  Internet

 

 
APRES ALAIN FERRANDI, MARTIN OTTAVIANI ET JOSEPH ANTOINE VERSINI QUITTENT LA LISTE DES PRISONNIERS POLITIQUES

Source photo : Comité anti répression
Source info :  Internet

 
 
La lettre D'alain ferrandi

« Observateur attentif depuis mon incarcération en Mai 1999, j’ai longtemps espéré que l’ensemble des forces nationalistes prenne conscience de ses errements passés, de ses carences structurelles, de ses multiples contradictions qui, incontestablement, n’ont cessé de brouiller notre message.

 

Pour impulser une dynamique nouvelle et travailler, bien au-delà de l’union, à la reconstruction du mouvement national, il était indispensable de faire preuve de courage politique en procédant à une analyse critique et sans tabous de la situation interne au mouvement.

 

Devant la perte de confiance, l’aversion évidente de notre jeunesse à l’égard des structures existantes, il aurait été souhaitable de donner des signes forts de notre volonté de changement. Or, on a surtout veillé à préserver la représentativité des appareils dans le cadre d’une démarche électoraliste. Dans ces conditions, l’union ne pouvait, à elle seule, être un gage de réussite. Eviter le piège de la coalition de circonstance et encourager le renouvellement des pratiques et des hommes, tel aurait du être le sens d’une démarche à entreprendre pour susciter l’adhésion du plus grand nombre.

 

Je fais aujourd’hui le difficile constat que les considérations politiciennes et personnelles ont pris le pas sur l’essentiel ? J’ai également le sentiment que la « thématique » du rapprochement des prisonniers reste le fond de commerce d’une union fragile au discours stéréotypé.

 

Il faut dire la vérité aux familles et cesser de les bercer d’illusions ; notre retour à Borgu ou à Aiacciu, dans l’éventualité de la construction d’un centre de détention, est plus qu’hypothétique voire impensable pour la plupart d’entre nous, notamment ceux condamnés a de lourdes peines. 

 

C’est donc pour toutes ces raisons (et bien d’autres encore que je m’interdis d’évoquer ici) que j’ai décidé, sans aucune acrimonie envers les animateurs du CAR, de quitter la liste des prisonniers politiques corses.

 

Fort de ma probité, du soutien indéfectible de ma famille et de mes amis, je reste convaincu qu’une autre alternative est possible pour redonner du sens à notre combat. Il appartient à chacun de réfléchir en conscience. »

Source photo : Comité anti répression
Source info :  Internet