Le
7 mai 2009 :
(13:00
Unità Naziunale,
www.unita-naziunale.org - Corse - Lutte de MassePour
les militants et sympathisants de Corsica Libera il ne se passe pas
une semaine sans répression policière.
On traine une militante, Marie Hélène Versini
devant le tribunal pour un prétendu "Transport de pétard" après
l'avoir interpellée manu militari avec un commando d'intervention
d'élite cagoulé, alors qu'une simple convocation aurait suffit.
Au cour de la perquisition , évidement
infructueuse de son domicile , ces mêmes troupes d’élites de la
gendarmerie ont brutalisé sa fillette de 10 ans, en la plaquant
violement contre le mur , menotté sans aucun motif son mari , puis
la police en à profitée pour lui saisir illégalement, une somme
d'argent correspondant à la recette réalisée durant un laborieux
week-end du premier mai par son activité commerciale ambulante.
A la suite de cela, on lui à fait subir une
garde à vue expéditive, dont le déroulement à été sujet à caution,
ce qui d'ailleurs obligera le tribunal devant lequel la justice l’a
traduite en comparution immédiate, à la relaxer et à annuler la
procédure pour non respect de la réglementation, tandis que sur
le fond les accusations dérisoires et infondées du ministère
publique notamment « le transport d’explosif » n'ont pas
résisté au ridicule de leurs formulations.
Aujourd’hui
nous apprenons que le parquet à interjetée appel de cette décision,
ce qui confirme la féroce volonté de l’état de poursuivre
l’inquisition contre les militants nationalistes.
D’autre part et cela finalement reste le plus
grave, si tant est que l’on puisse mettre des degrés de gravités sur
les persécutions et les atteintes au droit de l’homme en Corse, on
refuse toujours de restituer le fruit de son travail et ainsi
ont contraint et expose la famille de M –H VERSINI à de graves
problèmes financiers mettant en danger de précarité extrême
l’ensemble de sa famille.
Nous exigeons la restitution
immédiate du produit du labeur de cette mère de famille.
Il y a quelques jours devant le commissariat
d’Aiacciu nous tenions une conférence de presse pour dénoncer les
discriminations dont étaient sujet les corses au motif
d’entretenir de simples relations avec des militants politiques.
L’Etat affiche t’il par le biais de cette
lamentable manœuvre, une remise en cause du droit de travailler et
de gagner honnêtement sa vie des lors que l’on est, nationaliste
corse.
Dans tous les cas, ce qui se passe au niveau
de l’actualité répressive de ces derniers jours nous démontre qu’il
faut le croire.
Pour étayer plus précisément nos affirmations
, nous évoquerons ici également , le fait qu’ à Bastia on a osé
condamner Michel Terrachon sur la seule foi d'une plainte
d'un policier , laissant ainsi libre cour à la vindicte de certains
fonctionnaires de police zélés à l'encontre de nationaux, que
visiblement ils aimeraient épingler à leur tableau de chasse aux
sorcières.
Corsica Libera condamne le silence
éloquent, des responsables de la classe politique traditionnelle
sur ce sujet, ainsi que leurs élus qu’ils soient maires, ou
parlementaires et dont une des missions première est de garantir
l’égalité des droits entre les citoyens.
Par leur passivité complice sur ce sujet,
ils cautionnent le développement de cette stratégie d’état.
Corsica libera dénonce les tentatives
d’intimidations, les persécutions, les atteintes répétées aux droits
des citoyens qui constituent l’arsenal de la répression
judiciaire de sa démarche politique.
Corsica libera apporte son entière solidarité
à toutes les personnes victimes de cette oppression.
BASTA A REPRESSIONE CONTRA U POPULU CORSU
sur le même sujet :
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Fin de l'occupation
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Hélène Versini
Revue de Presse - Corse Matin -
Le couple Versini veut
récupérer l'argent saisi par la police
Commission Anti
Répressive de Corsica Libera
Dossier
:
Répression/Rapprochement
Corsica Libera communique :
L'actualité de Corsica
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